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Mises-à-jour concernant les adhésions – Nouveaux membres et anciens membres

Vous avez parlé et nous vous avons écoutés! À compter de ce mois-ci, nous publierons une liste des nouveaux membres ainsi qu’une liste des membres qui ont été radiés. En outre, la liste des membres actifs qui est mise à jour en ligne chaque semaine comprendra dorénavant les membres inactifs.

Si vous vendez des fruits et légumes en Amérique du Nord, nous vous invitons à visiter régulièrement notre site Web pour vérifier que votre partenaire commercial est bien un membre dont l’adhésion est en bonne et due forme. En fait, nous vous recommandons de franchir un pas de plus et d’appeler notre bureau pour en savoir davantage.

Bienvenue aux nouveaux membres *

Canada

2 RAMIREZ IMPORTS LTD, Coquitlam, BC
2109350 ALBERTA LTD., Edmonton, AB
BARRIERE RIVER FARMS, Barriere, BC
BASICX CANADA INC., Etobicoke, ON
CANAMEX-CARBRA TRANSPORTATION SERVICES INC., Mississauga, ON
LES SERRES BIOLOGICO INC. (Faisait également affaire sous Sa, Ste-Sophie, QC
LES SERRES SAGAMI INC., Ste-Sophie, QC
MARINA EXPORT & IMPORT INC., Markham, ON
MASTR VEGGIES INC., Leamington, ON
ME GUSTA IMPORTS INC., London, ON
RIGHT PRICE PRODUCE LTD., Leduc, AB
ROCK SALT CANADA INC., Toronto, ON
ROKAN DISTRIBUTION LTD., Markham, ON
RT INTERNATIONAL (A d/b/a of 7804334 Canada Inc.), Hamilton, ON
T. E. PRODUCE IMPORT AND EXPORT LTD., Langley, BC
VORTEX PRODUCE / VX PRODUCE (A d/b/a of Fernando Ortiz), Toronto, ON

États-Unis 

CSS FARMS, LLC., Pasco, WA
DON HEYL COMPANY, LLC., Sioux Falls, SD
FRUITS TRESS INC., Hidalgo, TX
SALIX FRUITS LLC, Tallahasse, FL
TEX-MEX SALES, LLC., Weslaco, TX

Membres dont l’adhésion n’est plus active*

SAVORY FOODS INC., North York, ON, Canada

*1er juin 2018 au 30 juin 2018

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Enregistrement de webinaire disponible

Le 22 juin, la DRC a participé aux séries de webinaires sur le RSAC proposées par l’ACDFR.

Le Règlement sur la salubrité des aliments au Canada entrera en vigueur le 15 janvier 2019, et bien que ce règlement porte principalement sur d’importantes questions de salubrité et de traçabilité alimentaire, il comporte un aspect particulièrement intéressant pour le secteur des fruits et légumes frais en matière d’échanges et de commerce. Les Canadiens qui achètent, vendent ou négocient des fruits et légumes frais à l’échelle interprovinciale et internationale devront être membres en règle de la Corporation de règlement des différends dans les fruits et légumes, à moins d’être exemptés des exigences du règlement. Le RSAC abroge la possibilité de choisir entre un permis de commerce de fruits et légumes frais de l’ACIA et l’adhésion à la DRC.

La présentation fournit des détails sur les exigences et les exemptions, ainsi que des informations sur l’initiative de modernisation du Recueil des normes canadiennes de classification de fruits et légumes frais de la DRC.

Pour avoir accès à l’enregistrement, cliquez ici :

https://www.youtube.com/watch?v=xCNQcZACSoM&feature=youtu.be

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Retenir des factures non reliées

Imaginez le scénario suivant : « Vous achetez un envoi par semaine de l’expéditeur X depuis quelques mois. Les conditions de paiement de l’expéditeur sont de 10 jours. Le dernier envoi reçu est en mauvaise condition. Après avoir réclamé des dommages et sauvegardé ce que vous avez pu, vos pertes s’élèvent à un montant qui dépasse le prix de la facture. Vous décidez de déduire une partie de votre perte de la facture d’un envoi précédent, arrivé sans problème. L’expéditeur n’apprécie pas cela et exige le paiement complet pour l’envoi reçu en bonne condition. » Que devriez-vous faire?

Il n’est pas rare dans notre secteur qu’un acheteur ayant reçu un produit en piètre état retienne une partie du paiement d’une facture antérieure ou à venir s’il y a lieu de croire que la perte sera plus importante que le prix apparaissant sur la facture. Il s’agit d’un moyen rapide et efficace de résoudre un différend entre les acheteurs et les vendeurs. Toutefois, les parties ne sont pas toujours d’accord pour régler une réclamation de cette manière-là.

Techniquement, lorsque survient une telle situation, à moins d’avoir une entente avec l’expéditeur ou l’entreprise de transport, ce genre de compensation n’est pas permis. Chaque transaction constitue un contrat et chaque contrat doit être traité séparément, en particulier lorsqu’il y a un différend.

Si vos pertes sont plus importantes que le prix facturé et que l’autre partie refuse de payer, vous pouvez soumettre une réclamation à la DRC, en autant que l’autre partie (expéditeur, transporteur, etc.) soit également membre de la DRC.

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Les dispositifs de consignation électronique (DCE) en Amérique du Nord et leur impact sur les entreprises

Dans ce premier article, la présidente de Two Roads Logistics, Jennifer Morris, aborde l’exigence relative aux dispositifs de consignation électronique, en vigueur depuis le 18 décembre 2017.

Qu’est-ce qu’un DCE?

Le dispositif de consignation électronique (DEC) se synchronise au moteur du véhicule facilitant ainsi l’enregistrement et la récupération des données relatives aux heures de service. Il simplifie également le partage et le suivi des heures de service.

Qu’est-ce que l’obligation américaine relative aux DCE?

En 2012, le Congrès des États-Unis a adopté le projet de loi MAP-21. Ce projet de loi, qui établit les critères pour le financement des autoroutes, comprend une disposition qui exige de la FMCSA (Federal Motor Carrier Safety Administration) l’élaboration d’un règlement concernant l’usage des dispositifs de consignation électronique. Dans sa forme la plus simple, le DCE est employé pour enregistrer électroniquement les heures de service d’un chauffeur à la place du registre en papier dans lequel certains chauffeurs confinent encore actuellement leurs heures de service conformément aux exigences. Le projet de loi est entré en vigueur le 18 décembre 2017.

Qu’est-ce que cela signifie pour le Canada?

Transport Canada cherche le juste équilibre entre les meilleurs intérêts des Canadiens et la nécessité de s’aligner sur la réglementation américaine touchant les véhicules. En poursuivant une approche coordonnée avec les États-Unis en matière de dispositifs de consignation électronique, les entreprises canadiennes pourront utiliser les mêmes instruments au Canada et aux États-Unis, ce qui soutiendra la croissance économique, le commerce et le transport entre les deux pays. La mise en œuvre est provisoirement prévue vers la fin 2019.

À qui s’applique ou s’appliquera la nouvelle règle?

La règle s’applique à la plupart des chauffeurs qui doivent actuellement maintenir un registre de leurs heures de service (per. part395,49CFR 395.8(a)). Elle s’applique aux autobus commerciaux et aux camions, y compris ceux qui sont conduits aux États-Unis par des chauffeurs canadiens ou mexicains. Quand le Canada mettra en œuvre sa règle, elle sera très semblable à celle des États-Unis.

Pourquoi fait-on cela?

Les avantages sont triples : (i) les DCE procurent aux chauffeurs un environnement de travail plus sécuritaire; (ii) ils améliorent la communication entre les chauffeurs et le personnel des transporteurs; et (iii) ils facilitent le partage de l’information avec le ministère (américain) des transports.

Est-ce que cela aura des impacts sur la capacité?

On peut s’attendre à ce qu’il y ait une courbe d’apprentissage pour s’adapter à la nouvelle règle. Cela pourrait faire en sorte que certains chauffeurs feront moins de voyages par semaine ou par mois. Cela aura donc une incidence sur la capacité.

Est-ce que les durées de transit vont changer?

Les règles concernant le temps en service ne changent pas et ne changeront pas. Cependant, les DCE enregistreront tout le temps en service du véhicule. Cela comprend notamment, les déplacements dans la cour, les vérifications sécuritaires, les problèmes de circulation et les temps d’attente. Avec la nouvelle règle, les durées de transit sembleront plus longues que ce qu’elles sont actuellement.

Est-ce que les taux vont changer?

Il y a un investissement à faire dans le logiciel et l’équipement, de même que pour la formation et certains coûts administratifs. En outre, alors que les chauffeurs assureront une gestion plus serrée du temps passé chez les expéditeurs et les destinataires, le temps d’attente engendrera des coûts et des conséquences.

Par Jennifer Morris, présidente, Two Roads Logistics

Demeurez à l’affût alors que, dans la deuxième partie, nous examinerons l’exemption agricole pour les heures de service au point d’expédition.

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